Voici un résumé de l’article de Radio-canada :
Lorsqu’il a été pris à plagier en utilisant ChatGPT pour un travail de philosophie au Cégep de Victoriaville, Tristan a reçu un zéro. Cependant, sa professeure, Noémie Verhoef, lui a offert une seconde chance en lui permettant de refaire l’exercice pour une note maximale de 60 %. Cette approche vise à encourager les étudiants à réfléchir sur les conséquences de leurs actions et à comprendre l’importance de l’intégrité académique.
Le Cégep adopte une politique claire contre le plagiat, mais la professeure a choisi de traiter ce cas comme une occasion d’enseignement, en impliquant les étudiants dans une réflexion sur l’usage des technologies comme ChatGPT. L’expérience a permis à Tristan et à d’autres étudiants de comprendre les risques liés à l’utilisation illégitime de l’IA, tout en renforçant leur respect pour le travail intellectuel.
Bien que cette approche ait été perçue positivement par certains, elle soulève la question de savoir si l’usage d’outils comme ChatGPT devrait être mieux encadré dans les institutions éducatives. Les étudiants, comme Tristan, ont admis l’avoir utilisé pour des tâches simples, mais la professeure insiste sur l’importance d’une leçon plus profonde sur l’intégrité académique.
