Voici un résumé de l’article de La Presse : 

Les comités LGBTQ+ actifs dans les écoles observent une montée de l’homophobie ces dernières années. Ces espaces de rassemblement queer qui promeuvent l’inclusion sont des safe space pour les élèves sont aujourd’hui désertés.

Certains clubs ont même vu leurs activités mises sur pause, faute de participants. Avec la montée d’une homophobie et un recul de l’ouverture des jeunes pourraient expliquer cette désertion de tels espaces. Une crainte qui est notamment partagée par les membres de ces espaces et par d’autres établissements scolaires. Les jeunes oseraient moins s’impliquer par peur d’être stigmatisés et identifiés.

En janvier dernier, le Groupe de recherche et d’intervention sociale de Montréal avait dévoilé une étude démontrant une hausse de l’inconfort des jeunes face à la diversité sexuelle au Québec. Des drapeaux de la diversité et des affiches de sensibilisation sont régulièrement vandalisés dans certaines écoles.

Le tableau n’est pas cependant que sombre. Certains comités LGBTQ+ dans des écoles de la province se portent bien et voient leurs activités de sensibilisation et de lutte se perpétuer.