En réaction au silence entendu lors de l’Année internationale de la jeunesse (AIJ) proclamée par l’Organisation des Nations Unies (ONU), qui avait pour thème « dialogue et compréhension mutuelle » et qui a pris fin au mois d’août 2011, les jeunes du Bureau de Consultation Jeunesse (BCJ) accompagnés de l’équipe de travailleurs communautaires de l’organisme veulent présenter leurs réflexions sur la place de la jeunesse au sein de la société québécoise d’aujourd’hui.

L’Année internationale de la jeunesse, un événement important ?

Le 5 février 2010, les membres de l’ONU, dont le Canada fait partie, ont décidé en assemblée générale de proclamer l’année 2010 Année internationale de la jeunesse : dialogue et compréhension  mutuelle et qui devait débuter le 12 août 2010.  Nous pouvons lire sur leur site la résolution adoptée :

« Considérant qu’il importe de diffuser parmi les jeunes les idéaux de paix, de respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales, de solidarité et d’attachement aux objectifs de progrès et de développement, […]

Sachant que la manière d’aborder les difficultés et les potentialités de la jeunesse aura une influence sur la situation sociale et économique actuelle ainsi que sur le bien-être et les moyens d’existence des générations futures,

Sachant également que l’année 2010 marquera le vingt-cinquième anniversaire de l’Année internationale de la jeunesse : participation, développement, paix, et soulignant qu’il importe de célébrer cet anniversaire,

Convaincue que les jeunes doivent être encouragés à investir leur énergie, leur enthousiasme et leur créativité dans le développement économique, social et culturel et la promotion de la compréhension mutuelle, […]

  1. Décide de proclamer l’année commençant le 12 août 2010 Année internationale de la jeunesse : dialogue et compréhension mutuelle ;
  2. Invite tous les États Membres, les institutions spécialisées, les fonds et les programmes du système des Nations Unies et les organisations de jeunes à tirer parti de la célébration de l’Année pour faire fond sur les synergies entre les activités devant être menées à bien aux échelles nationale, régionale et internationale durant l’Année et promouvoir […]
  3. […]
  4. Demande aux États Membres, aux organisations internationales et éventuellement régionales et à toutes les parties prenantes concernées, dont le secteur privé et la société civile, d’appuyer toutes les activités liées à l’Année, notamment au moyen de contributions volontaires »[1]

Comme il est possible de le constater dans cette résolution, les pays membres sont appelés « à appuyer diverses activités destinées à célébrer cette Année tant aux plans mondial que local »[2] Que s’est-il passé au Québec ? Voici un bilan fort inquiétant.

En août 2010, par une lettre envoyée aux médias, le Bureau de Consultation Jeunesse (BCJ) s’est adressé au premier ministre Jean Charest, responsable des dossiers jeunesse, « … afin qu’il nous fasse part rapidement de ce qu’il compte mettre en œuvre pour assurer la meilleure contribution du Québec à cette Année de la jeunesse »[3]. Désirant faire des projets dans le cadre de cette année, le BCJ a été surpris de constater la méconnaissance des acteurs jeunesse (différents partenaires travaillant auprès des jeunes) concernant la proclamation de l’AIJ. Cette situation soulève plusieurs questions : comment se fait-il que les principaux concernés, c’est-à-dire les groupes travaillant directement auprès des jeunes, n’en soient pas informés ? Y a-t-il eu un manque de transmission d’information de la part de nos gouvernements ? Peut-on y voir un message quant au faible degré d’intérêt du gouvernement pour les jeunes ?

Il est surprenant de comparer l’intérêt de la première AIJ, qui a eu lieu en 1985, à celle de 2010. Lors d’une émission radiophonique à Radio-Canada en 1986, Michel Clair, alors « ministre québécois responsable de cette année de la jeunesse », trace un bilan des activités réalisées. Le Québec est la province canadienne qui a le plus investi dans l’événement, avec une enveloppe budgétaire de 9,4 millions pour financer la réalisation de 700 projets. »[4]. Qu’en est-il du bilan de 2010 ? Une recherche dans Internet nous questionne quant au nombre d’activités réalisées sur le territoire québécois. Le BCJ a tenté de faire financer quelques projets dans le cadre de l’AIJ, tant au niveau provincial que fédéral, mais sans succès. Seule une caisse populaire a contribué à un événement festif nommé Célébrons la jeunesse, qui a eu lieu à Laval le 5 août 2011 et qui a été organisé par des jeunes de différents organismes communautaires de la région (Bureau de Consultation Jeunesse, Travail de Rue Ile de Laval, Centre Communautaire Val Martin).[5]

Un désintérêt gouvernemental face à une réelle implication citoyenne ?

En 1985, lorsque l’ONU a décrété la première Année internationale de la jeunesse, le Bureau de Consultation Jeunesse (BCJ) en a profité pour insister sur la reconnaissance primordiale de la place occupée par la jeunesse dans notre société. Dans un mémoire transmis au comité sénatorial spécial sur la jeunesse le 7 août 1984, M. Gilles Tardif, secrétaire par intérim du BCJ, insiste sur ce point : « ce que les jeunes rejettent le plus ce ne sont pas les valeurs, mais l’incohérence des structures qui servent d’abord les intérêts du gouvernement et des institutions plutôt que les leurs et le désintérêt grandissant des adultes à leur égard ». Les jeunes de cette époque disaient chercher «la reconnaissance, que ce soit trippant : donner, trouver un sens à sa vie et pas par le matériel. C’est ce qu’il faut leur offrir à travers les structures et le soutien des adultes. »[6]. Plus de vingt-cinq ans plus tard, il est dommage de constater que nos recommandations et constats de l’époque demeurent tout aussi actuels. Nous pouvons d’ailleurs nous demander si le gouvernement du Québec est vraiment intéressé à entendre la voix des jeunes.

En effet, le 30 mars 2010, le gouvernement du Québec a annoncé l’abolition du Conseil Permanent de la Jeunesse (CPJ)[7]. Celui-ci avait été créé le 23 juin 1987 suite à un vote de l’Assemblée Nationale et répondait au besoin mentionné par les jeunes d’avoir « un interlocuteur indépendant et permanent »[8]. Pour le ministère des Finances et le Conseil du trésor «L’objectif est d’avoir un État mieux organisé et plus efficace »[9], soutient Geneviève Villemure-Denis, attachée de presse de la présidente du Conseil du trésor, Monique Gagnon-Tremblay. Les activités du CPJ ont été, selon le site du gouvernement, transférées au Secrétariat à la jeunesse (SAJ)[10]. Cependant, selon les membres du CPJ, il en est autrement. Nous pouvons lire leur point de vue dans le mémoire qu’ils ont déposé en février 2011 à la Commission des finances publiques dans le cadre de l’étude du projet de loi 130. En voici quelques extraits :

« Les organismes-conseils, tels que le Conseil permanent de la jeunesse, demeurent un outil essentiel; ils sont un lieu d’engagement social pour les citoyens de tous âges et un moyen de faire valoir leur point de vue au gouvernement. Comme d’autres qui sont appelés à disparaître, le CPJ est un organisme indépendant et non partisan qui a pour mission de défendre les jeunes citoyens du Québec. (p. iii)…

Ce Conseil, mis en place en 1987, a toujours permis aux jeunes citoyens de s’exprimer et de créer des voies de communication avec la jeunesse tout en permettant une participation citoyenne libre de partisannerie. Il œuvre pour préserver l’unique voix des jeunes au sein du gouvernement. (p. 7)…

Soucieux du bien-être des jeunes et penché sur leurs préoccupations, le Conseil permanent de la jeunesse représente le « chien de garde » des intérêts et des enjeux jeunesse du Québec au sein de l’appareil gouvernemental. Il s’agit là d’un rôle qui dépasse largement celui de conseiller. (p. 9)…

Les activités du Conseil sont bien distinctes de celles du Secrétariat à la jeunesse, bien que ces deux instances soient nécessaires. Le Secrétariat à la jeunesse a comme principal mandat de soutenir et financer les programmes jeunesse et d’élaborer la Stratégie d’action jeunesse. Il agit comme un ministère de la jeunesse.

Le Conseil permanent de la jeunesse, lui, est composé de 15 jeunes du Québec. Les membres du Conseil décident d’approfondir certains problèmes que vivent les jeunes et, en cela, ils sont soutenus par une équipe permanente de la fonction publique. Des travaux et des réflexions du Conseil émanent des recommandations qui sont, par la suite, acheminées au gouvernement du Québec. Le Conseil possède un regard critique sur les dossiers jeunesse au sein de l’appareil gouvernemental et il fait part de son avis sur les politiques et les actions gouvernementales qui concernent les jeunes. (p. 10)…

Le Secrétariat à la jeunesse et le Conseil permanent de la jeunesse sont des organismes aux missions différentes, mais leurs rôles sont essentiels et ils se doivent d’exister. Les avis du Conseil renforcent l’action même du Secrétariat à la jeunesse. Ce dernier ne peut être à la fois maître d’œuvre des programmes jeunesse tout en conservant une indépendance et un regard critique sur l’action gouvernementale en matière de jeunesse. » (p. 11)[11]

Le CPJ a réalisé, à travers toutes ces années, de nombreuses études « … tant au niveau de l’emploi atypique, de l’homophobie, de la prostitution que de la participation citoyenne. Les recommandations du CPJ se sont également toujours appuyées sur des intervenants qualifiés. »[12] Le BCJ s’inquiète également de cette décision qui montre « le risque de l’affaiblissement des espaces où les jeunes prennent la parole pour exprimer leur pensée. En effet au Québec, l’appauvrissement des organismes des jeunes et des regroupements jeunesse atrophie leur mobilisation et leur prise de position dans des thèmes comme les changements sociaux et l’engagement citoyen. »[13].

Une vision de la jeunesse

Selon une conversation téléphonique que le BCJ a eu le 10 février dernier avec un responsable du Secrétariat à la jeunesse, la voix des jeunes est entendue via différentes instances telles que les Forum jeunesse de chacune des régions, les associations étudiantes ainsi que les organismes communautaires s’ils déposent des mémoires. Pourtant, le gouvernement annonce l’augmentation des frais de scolarité, ce à quoi s’opposent les associations étudiantes si on se fie à leurs revendications. De plus en plus de jeunes doivent travailler et abandonner les études parce que la charge monétaire est trop grande.

De plus, les organismes communautaires ne voient pas leur financement à la mission atteindre le seuil plancher[14] qui pourrait leur permettre, si tel était le cas, d’écrire des mémoires au Secrétariat à la jeunesse sur la réalité des jeunes. Les budgets sont plutôt dédiés à des projets spécifiques : pour les jeunes en difficultés avec des problématiques spécifiques. Bien qu’il soit très intéressant de faire des projets avec les jeunes, ces derniers ne sont que très rarement consultés sur leurs réels besoins et leur propre vision. Ils sont souvent stigmatisés et les problèmes sociaux sont de moins en moins considérés dans leur globalité, une approche qui suppose une analyse et une action sur les réelles causes.

Dans un document publié en 2004, le CPJ considère que :

« … la jeunesse des années 80 éprouve le sentiment que son intégration à la société est freinée, qu’elle est privée de son droit d’expression dans la société québécoise. […] L’isolement ressenti par les jeunes de cette génération est également alimenté par les représentations confuses et parfois réductrices qu’on entretient à leur égard. On fait état de leur manque de civilité et de leur désengagement sans toutefois comprendre leur conception des nouvelles réalités sociales ni leur contribution à cet égard »[15].

Nous constatons avec regret que les choses n’ont pas tellement changé.

Il est déconcertant de voir une intolérance et une peur des jeunes augmenter de plus en plus. Plusieurs jeunes mères de notre organisme nous mentionnent à quel point leurs enfants dérangent dans les différents lieux où elles se trouvent : au restaurant, dans les autobus, au magasin et même dans leur appartement.  Des moyens sont de plus en plus utilisés pour faire fuir les adolescents des endroits publics, comme l’intervention policière face aux jeunes qui « flânent » dans un parc ou dans d’autres lieux; certaines villes ont, ou pensent installer, des appareils Mosquito, communément appelés « sifflets anti-ados ». Selon l’Agence de santé et des services sociaux de Québec, cet « appareil qui émet un son de très haute fréquence […] a été conçu pour éloigner les attroupements de jeunes. […] Toutefois le rassemblement entre pairs est un phénomène normal de socialisation et ne sous-entend pas nécessairement des actes de délinquance »[16]. En 2008, « deux [étaient] installés dans la région montréalaise »[17] et la ville de Québec prévoyait en installer. En 2011, c’est la ville de Brossard qui envisageait de le faire[18].

De plus, différents programmes et projets de loi, dont le projet de loi C-10 qui a été adopté par le gouvernement fédéral en décembre 2011 et qui « … prévoit notamment des peines plus sévères pour certains criminels, dont les jeunes contrevenants »[19], nous amènent à observer un durcissement de ton envers les jeunes et ce, tant dans les lois que dans les pratiques institutionnelles.

En conclusion

Le Bureau de Consultation Jeunesse est un organisme d’action communautaire autonome couvrant la grande région métropolitaine qui œuvre auprès des jeunes de 14 à 25 ans, et ce depuis 1970. Il travaille quotidiennement à favoriser la participation citoyenne chez les jeunes, ainsi qu’à les inclure dans les instances décisionnelles qui les touchent. Le BCJ a, parmi ses principes d’intervention, celui du “préjugé favorable aux jeunes”, c’est-à-dire qu’il ne se positionne pas en expert face aux jeunes : il refuse d’agir uniquement en fonction des problèmes prédéfinis ; il accorde donc une pleine crédibilité à la perception que le jeune a de la situation et reconnait sa capacité à juger de son meilleur intérêt. Cela implique de tenir compte des valeurs, des aspirations et du rythme de cheminement des jeunes, ainsi que de leur réalité socio-économique. Le BCJ s’est donné comme « cheval de bataille » pour 2011-2012 l’Espace des jeunes dans la société. Plusieurs comités de jeunes se sont mis sur pied tels que : le comité jeunes vie associative qui a une vision globale de l’organisme, ainsi que les tables des jeunes que l’on retrouve dans les différents quartiers.

Lorsque les travailleurs de l’organisme ont discuté de l’AIJ avec les jeunes, ceux-ci se sont enthousiasmés à l’idée d’organiser des projets spéciaux pour parler de la jeunesse. Ils ont été fort déçus des refus de financement. C’est à ce moment que plusieurs d’entre eux se sont mis à se questionner sur le réel intérêt que la société leur portait. Se sont alors ajouté Parole aux jeunes et 100% jeunes, des projets permettant une expression libre des jeunes sur leurs réalités et démarrant un dialogue avec le public. De plus, une animation a été créée par le comité Vie associative en lien avec l’AIJ permettant d’aller recueillir les réelles préoccupations des jeunes dans l’ensemble des points de service de l’organisme. Tous ces lieux d’implication permettent aux jeunes

« … d’exprimer leurs revendications précises quant à leur lecture de la situation actuelle et à leur avenir. Ces jeunes sont des citoyens et des citoyennes actif-ve-s et engagé-e-s et ont de nombreuses recommandations à soumettre au gouvernement sur différents sujets qui les touchent directement. Par exemple, ils voudraient parler de l’accès et du développement du logement social, du profilage social et racial des jeunes, de l’homophobie, de l’éducation et de la privatisation des services sociaux. Ces jeunes suggèrent de réfléchir sur leurs possibilités à s’autodéterminer, à s’exprimer et à penser leur futur dans le cadre actuel. Ils croient nécessaire d’avoir un regard historique sur l’évolution et la place des jeunes dans notre société afin d’être de meilleurs citoyens et citoyennes, ce qui implique, à leur avis, de pouvoir agir dans une position égalitaire. Pour ce faire, ces jeunes proposent la création de plus d’espaces démocratiques où il leur sera possible de penser à leur avenir, de l’inventer en fonction de ce qu’ils sont et de ce qu’ils désirent être, de s’exprimer sur ce qu’ils considèrent comme les enjeux importants pour le bien-être et le futur de notre société. » [20]

C’est donc à partir de leurs préoccupations et de leurs demandes que le BCJ vous a conviés aujourd’hui à ce point de presse. De plus, cette approche des jeunes répond clairement au but de la Politique québécoise de la jeunesse adoptée en 2001 et qui vise à « favoriser la citoyenneté active de tous les jeunes »[21]. Le gouvernement de l’époque invitait « tous les acteurs du développement du Québec à se mobiliser pour permettre aux jeunes de prendre toute la place qui leur revient dans la société »[22].  Aujourd’hui, « Par la voix du premier ministre, l’État affirme que par ses différentes missions, il a fait de la jeunesse une priorité. Est-ce que cela est vrai? Quelle est à présent sa stratégie? Comment ces missions, ces plans se traduiront-ils sur le terrain? »[23]

Les jeunes ont décidé que 2012 ne passerait pas sous silence. Le 12 août, lors de la Journée internationale de la jeunesse, des activités auront lieu dans les différents points de services du BCJ. La jeunesse y sera alors célébrée. Ces activités permettront d’annoncer officiellement le Sommet Jeunesse qui se tiendra à l’automne 2012. Nous vous invitons à suivre avec intérêt et à participer aux évènements en 2012 qui seront organisés par des jeunes. Ceux-ci seront des moments pour entendre les jeunes dans leurs forces, leurs talents et de partager avec eux des réflexions sur la jeunesse d’aujourd’hui.

Le Bureau de Consultation Jeunesse (BCJ)

Pour plus de renseignements :

Gilles Tardif Coordonnateur au BCJ

514-274-9887 – gilles.tardif.bcj@gmail.com – www.bcj14-25.org

MÉDIAGRAPHIE

 

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 BUREAU DE CONSULATION JEUNESSE, L’Année internationale de la jeunesse, que doit faire le Québec?, [En ligne], 2010, http://www.bcj14-25.org/PDF/LettreAIJ2010.pdf  (Page Consultée le 11 février 2012)

 BUREAU, Stéphan, «Année de la jeunesse : du bruit pour rien», dans RADIO-CANADA, archives, [En ligne], http://archives.radio-canada.ca/societe/jeunesse/clips/6908/(Page consultée le 11 février 2012)

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BÉJANIN, Sandrine, «Brossard songe à instaurer un système sonore pour éloigner les jeunes des parcs, le soir», dans le Rive-Sud express, [En ligne], http://www.myvirtualpaper.com/doc/rive-sud-express/rs02regu20111115/2011111301/5.html#4 (Page Consultée le 11 février 2012)

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QUÉBEC, SECRÉTARIAT À LA JEUNESSE, Le ministre d’État à l’éducation et à la jeunesse souligne la journée internationale de la jeunesse, [en ligne], http://www.jeunes.gouv.qc.ca/communiques/2001/saj_com20010812.htm (Page Consultée le 11 février 2012)

[1]  ONU ; Résolution adoptée par l’Assemblée générale, Distr. Générale 5 février 2010, Soixante-quatrième session Point 61, b, de l’ordre du jour, [En ligne], http://www.un.org/french/documents/view_doc.asp?symbol=A/RES/64/134

[2] CENTRE D’ACTUALITÉS DE  L’ONU, Service d’information des Nations Unies, 2010, Année Internationale de la jeunesse, [En ligne], http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=20875

[3] BUREAU DE CONSULATION JEUNESSE, L’Année internationale de la jeunesse, que doit faire le Québec?, [En ligne], 2010, http://www.bcj14-25.org/PDF/LettreAIJ2010.pdf 

[4] BUREAU, Stéphan, «Année de la jeunesse : du bruit pour rien», dans RADIO-CANADA, archives, [En ligne], http://archives.radio-canada.ca/societe/jeunesse/clips/6908/

[5] Caisse Populaire Desjardins ; L’Année internationale de la jeunesse 2010-2011, [En ligne], http://www.desjardins.com/fr/votre_caisse/nouvelles/nouvelle.jsp?transit=81530449&type=DA219CF5612759B0852578EF006F78AE

[6] Tardif, G. (1984). Mémoire présenté par le Bureau de Consultation Jeunesse; Comité sénatorial spécial sur la jeunesse (pp. 25)

[7] COMMUNIQUÉS DU QUÉBEC; Le gouvernement annonce l’abolition ou la fusion de 28 fonds ou organismes gouvernementaux ; [En ligne] http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/ME/Mars2010/30/c6554.html

[8] CONSEIL PERMENANT DE LA JEUNESSE, L’histoire du Conseil permanent de la jeunesse 1987-2003, [En ligne], 2004, http://www.saj.gouv.qc.ca/publications/avis-memoires-recherches-propos/documents/histoire-du-conseil/historique-cpj.pdf p.7

[9] GERVAIS, Lisa-Marie et GRAVEL, Pauline, «Le grand ménage», dans Le Devoir, [En Ligne], http://www.ledevoir.com/politique/quebec/286344/le-grand-menage

[10] Intégration des activités du Conseil permanent de la jeunesse à celles du Secrétariat à la jeunesse;  [En Ligne], http://www.cpj.gouv.qc.ca/index.html

[11] COURCHESNE, Michelle, «Projet de loi n#130», Assemblée Nationale du Québec, [En ligne], http://www.assnat.qc.ca/fr/travaux-parlementaires/projets-loi/projet-loi-130-39-1.html

[12] Communiqué «Abolition du Conseil permanent de la jeunesse – Le gouvernement Charest laisse tomber ses jeunes», dans Québec Portal, [En Ligne], http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/ME/Mars2010/30/c6572.html?slang=en

[13] BUREAU DE CONSULATION JEUNESSE, L’Année internationale de la jeunesse, que doit faire le Québec?, [En ligne], 2010, http://www.bcj14-25.org/PDF/LettreAIJ2010.pdf 

[14] AGENCE DE SANTÉ ET DE SERVICE SOCIAUX ; Cadre de financement du programme de soutien aux organismes communautaires de la région de Montréal/Balises pour le financement dédié à la mission globale des organismes communautaire; [En ligne], http://agence.santemontreal.qc.ca/fileadmin/asssm/pdf/PSOC/Balises__mission__globaleVF.pdf

[15] CONSEIL PERMENANT DE LA JEUNESSE, L’histoire du Conseil permanent de la jeunesse 1987-2003, [En ligne], 2004, http://www.saj.gouv.qc.ca/publications/avis-memoires-recherches-propos/documents/histoire-du-conseil/historique-cpj.pdf p.5

[16] AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LA CAPITAL-NATIONALE, Avis concernant les risques potentiels relies à l’utilisation du dispositive «MOSQUITO», [En ligne], http://www.dspq.qc.ca/publications/Avis_Mosquito.pdf p.10

[17] BENJAMIN, Guy, «Des travailleurs de rue dénoncent le sifflet anti-ados», dans Le Soleil, [En ligne], http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/societe/200811/12/01-800121-des-travailleurs-de-rue-denoncent-le-sifflet-anti-ados.php

[18] Béjanin, Sandrine ; Brossard songe à instaurer un système sonore pour éloigner les jeunes des parcs, le soir ; [En ligne], http://www.myvirtualpaper.com/doc/rive-sud-express/rs02regu20111115/2011111301/5.html#4 (p.5)

[19] AGENCE QMI, «Le projet de loi C-10 adopté», dans TVA Nouvelles, [En ligne], http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/national/archives/2011/12/20111205-193945.html (Page Consultée le 11 février 2012)

[20] BUREAU DE CONSULATION JEUNESSE, L’Année internationale de la jeunesse, que doit faire le Québec?, [En ligne], 2010, http://www.bcj14-25.org/PDF/LettreAIJ2010.pdf 

[21] POLITIQUE QUÉBÉCOISE DE LA JEUNESSE, La jeunesse au cœur du Québec, [En ligne], 2001, http://www.jeunes.gouv.qc.ca/publications/pjsommaire.pdf p.6

[22] QUÉBEC, SECRÉTARIAT À LA JEUNESSE, Le ministre d’État à l’éducation et à la jeunesse souligne la journée internationale de la jeunesse, [en ligne], http://www.jeunes.gouv.qc.ca/communiques/2001/saj_com20010812.htm

[23] BUREAU DE CONSULATION JEUNESSE, L’Année internationale de la jeunesse, que doit faire le Québec?, [En ligne], 2010, http://www.bcj14-25.org/PDF/LettreAIJ2010.pdf 

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